Jean Sarkozy et Jessica Sebaoun rapportent moins que Jamel Debbouze et Mélissa Theuriau
Les clichés du mariage de Jamel Debbouze et Mélissa Theuriau se sont vendus plus chers que ceux des épousailles de Jean Sarkozy et Jessica Sebaoun. C'est en tout cas ce qu'affirme l'auteur des deux séries de clichés, la star des paparazzi, Jean-Claude Elfassi. Dans une interview au Post, Jean-Claude Elfassi revient avec l'insolence qui le caractérise sur les clichés du mariage de Jean Sarkozy et Jessica Sebaoun. "J'ai vendu deux séries de photos: une que j'ai réalisée moi-même, et une autre, constituée de photos envoyées par les invités. Les invités m'ont rapidement contacté. La première série, vous avez pu la voir dans Voici, VSD et Gala, et la deuxième série paraîtra dans Vanity Fair, Paris-Match et Hola, un magazine espagnol" explique le célèbre paparazzi.
A ceux qui s'étonnent d'apprendre que les invités de Jean Sarkozy et Jessica Sebaoun ont eux-mêmes proposés des photos aux rédactions, Jean-Claude réplique et lance une petite pique : "Les rédactions ont reçu une centaine de photos dès le lendemain midi, et on atteignait les mille photos le lendemain du mariage. On n'a jamais eu un mariage avec autant de photos! Quand Jean Sarkozy parle de vie privée, ça me fait marrer.
Dans ces cas-là, il ne fallait inviter personne." Si le photographe est d'humeur taquine, c'est sans nul doute parce que les photos du mariage du fils du président lui ont rapporté 50 000 euros en raison de leur rareté. En effet, un invité avait prévu de vendre les photos du mariage aux rédactions avant de se désister au dernier moment et de laisser le champ libre à celui qui a aussi vendu les photos des mariages de Tony Parker et d'Eva Longoria ainsi que de Jamel Debbouze et Mélissa Theuriau. En parlant de Jamel et Mélissa, Jean-Claude Elfassi rappelle que les photos du mariage de ces derniers lui ont rapporté 30 000 euros de plus.
Preuve que si Jean Sarkozy est déjà un people, il n'est pas encore une star. En ce qui concerne la façon dont il a réussi à "infiltrer" le mariage, Jean-Claude Elfassi n'en dira pas plus, secret professionnel oblige. Tout juste concèdera-t-il qu'une mairie est un lieu public ce qui laisse deviner que ça n'a pas dû être bien difficile.